LA GAZETTE
(à télécharger au format PDF)

NOUS TROUVER
(et où trouver la gazette)

NOS TARIFS :
TARIF NORMAL : 7,50€
CARNET D'ABONNEMENT : 55€ (10 places, non nominatives, non limités dans le temps, et valables dans tous les Utopia)
Séance avant 13h : 5€
Moins de 18 ans : 5€

RSS Cinéma
RSS Scolaires
RSS Blog

(Quid des flux RSS ?)

EN DIRECT D'U-BLOG

Le blog des profondeurs...
(de champ)

La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

Soutenez Utopia Palmer

LES LOIS DE L'HOSPITALITÉ

Buster KEATON et John G. BLYSTONE - USA 1923 1h15 - Buster Keaton, Natalie Talmadge, Joe Roberts, Ralp Bushman, Monte Collins... Pour les enfants à partir de 7 ans.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

LES LOIS DE L'HOSPITALITÉLes Lois de l'hospitalité est le second long métrage réalisé par Buster Keaton. Ce n'est pas le plus connu mais c'est l'un des tout meilleurs, un des plus drôles, un des plus tendres, une vraie merveille.

L'histoire se déroule au début du xixe siècle et s'appuie sur les querelles ancestrales entre deux familles de Rockville, les Canfield et les McKay : les hommes des deux clans ont la fâcheuse habitude de chercher à s'entretuer pour perpétuellement venger les victimes des générations précédentes. Personne évidemment ne peut dire quel a été le point de départ de cette haine tenace…
Le prologue nous montre le règlement de compte entre John McKay et l'un des Canfield, qui s'entretuent gaillardement lors de leur affrontement. La veuve du défun McKay décide alors d'envoyer son fils Willie chez sa sœur à New York, afin qu'il vive loin des vendettas familiales.

Vingt ans plus tard – nous sommes en 1830 –, Willie (Buster Keaton) apprend qu'il hérite de la propriété de son père et décide de se rendre à Rockville pour en prendre possession. Il fait le voyage par le train, dans lequel il rencontre une jeune femme qui ne le laisse pas insensible. Et réciproquement.
Arrivé à destination, l'homme supposé le conduire sur sa propriété n'est autre que l'un des fils Canfield, qui va évidemment essayer de le trucider ! Bien heureusement il rate son coup et Willie va trouver tout seul le chemin de sa maison, pour constater qu'elle est en ruines… Dépité, il retrouve espoir quand la belle inconnue du train l'invite à souper dans sa famille. Nouveau coup de malchance : c'est la fille Canfield ! Willie va donc de son plein gré se jeter dans la gueule du loup. Mais toutes les traditions ne sont pas à jeter, en particulier celle qui veut qu'un invité, fut-il votre pire ennemi, ne peut pas être attaqué tant qu'il est sous votre toit…