LA GAZETTE
(à télécharger au format PDF)

NOUS TROUVER
(et où trouver la gazette)

NOS TARIFS :
TARIF NORMAL : 7,50€
CARNET D'ABONNEMENT : 55€ (10 places, non nominatives, non limités dans le temps, et valables dans tous les Utopia)
Séance avant 13h : 5€
Moins de 18 ans : 5€

RSS Cinéma
RSS Scolaires
RSS Blog

(Quid des flux RSS ?)

EN DIRECT D'U-BLOG

Le blog des profondeurs...
(de champ)

La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

Soutenez Utopia Palmer

DANIEL DARC, PIECES OF MY LIFE

Marc DUFAUD et Thierry VILLENEUVE - documentaire France 2019 1h41 - Festival Musical Écran 2019 : Prix du public.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

DANIEL DARC, PIECES OF MY LIFEDaniel Darc a été pendant 8 ans le chanteur de Taxi-Girl, groupe phare des années 80, à la destinée paradoxale puisqu’il voyagea de la lumière à l’ombre avec une série de hits et une musique en apparence « mainstream », mais une image de plus en plus dure. L’overdose fatale du batteur, l’acharnement de Daniel à affirmer son identité punk en se tranchant les veines sur scène, ne racontaient pas une autre histoire mais révélaient la part radicale d’une génération et d’une époque.
C’est bien la même ambiguïté qui accompagnera les premiers opus de sa carrière solo. Son attitude, son mode de vie extrémiste, « autodestructeur », suscitant dès lors toutes sortes de légendes urbaines, l’exileront du monde de la musique. Bref, Daniel Darc fait peur…
Les années 90 passent et sa trace se perd malgré un album flottant comme une balise au milieu du naufrage. Il faut attendre 2004, sa rencontre avec Frédéric Lo et leur miraculeux Crèvecœur, pour que Darc rencontre à nouveau le succès. Il fait alors figure de survivant et sa trajectoire parle au nouveau millénaire. Trois autres albums suivront, entérinant sa place à part dans le paysage musical et culturel français. Jusqu’à ce 28 février 2013…

« Ceci n'est pas un documentaire musical, qui retracerait la carrière, “avec ses hauts et ses bas”, de Daniel Darc, sombre héros du rock français disparu en 2013. Ni même un film-hommage, vétilleux sinon un panégyrique. Non, ceci est un film-collage, parfaitement raccord avec son personnage chaotique…
« Daniel Darc, Pieces of my life (titre inspiré d'un morceau d'Elvis Presley) se présente en effet comme une combinaison flâneuse, impressionniste, d'archives inédites dudit chanteur et subtil songwriter. Une forme pertinente, pour au moins deux raisons. D'une part, cette évocation poétique épouse au plus près les tours et détours de la pensée mobile de Darc. Vif dandy qui sait être tendre et poseur, mélancolique et rieur, impudique et érudit. D'autre part, elle trouve le bon tempo – assez proche du free-jazz, qu'il aimait – pour accompagner ses déambulations (inlassables) à travers Paris, sa ville-monde. » (A. Allard, Positif)