DERNIER NOËL AVANT LA FIN D’UN MONDE
Le croiriez-vous ? La bonne nouvelle – car il y en a une – est arrivée le 9 novembre dernier du Conseil d’État, qui a annulé le décret de dissolution du mouvement des Soulèvements de la terre. Pris en Conseil des ministres fin juin, le décret suivait de peu la tentative de requalification – ou ...
La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...
LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...
Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...
Également au programme - CHARLOT S’AMUSE - L'OPINION PUBLIQUE - LA RUÉE VERS L’OR - LE CIRQUE - LE KID - LES FEUX DE LA RAMPE - LES TEMPS MODERNES - MONSIEUR VERDOUX
(A King in New York) Écrit et réalisé par Charles CHAPLIN - USA 1957 1h36 - avec Charles Chaplin, Dawn Addams, Oliver Johnston, Michael Chaplin, Maxine Audley...
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Fuyant son pays en révolution, le roi Shahdov se réfugie aux Etats Unis. Détroussé par son ancien premier ministre et donc sans argent, il se trouve contraint de faire des publicités…
Un roi à New York est un film généralement peu estimé, du moins pas estimé à juste valeur. C’est le premier film fait par Chaplin en Europe après avoir été expulsé des Etats-Unis et le cinéaste ne se prive pas de montrer les excès de cette paranoïa anticommuniste qui culminait alors, mais le film est aussi un regard sur la société qui l’entoure, l’omniprésence de la publicité, de la télévision, du culte de la jeunesse. Quelques gags parsèment le film ici et là comme toujours avec Chaplin. Les charges les plus virulentes, il les porte par la bouche d’un garçon de dix ans qui est interprété par son propre fils, Michael Chaplin.
Roberto Rossellini a dit qu’Un roi à New York était avant tout « le film d’un homme libre » (L’œil sur l’écran – lemonde.fr)