La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...
LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...
Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...
Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ?
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...
Également au programme - ALLEMAGNE ANNÉE ZÉRO - LA MACHINE À TUER LES MÉCHANTS - PAÏSA - ROME VILLE OUVERTE - STROMBOLI - VOYAGE EN ITALIE
(Angst) Roberto ROSSELLINI et Herman MILLAKOWSKY - Allemagne 1954 1h15 VOSTF - avec Ingrid Bergman, Mathias Wieman, Renate Mannhardt, Klaus Kinski... Scénario de RR, Sergio Amidei et Franz von Treuberg, d’après une nouvelle de Stefan Zweig.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Inspiré de Stefan Zweig, c’est le dernier volet (méconnu) des quatre films du couple Roberto Rossellini-Ingrid Bergman. Le propos provoque le malaise : un mari, directeur d’un laboratoire pharmaceutique, harcèle son épouse, qui a un amant, pour lui faire avouer sa « faute ». La peur, ici, c’est donc celle vécue in vivo par Irène, torturée par la culpabilité. Du Rossellini à l’état pur : il filme les rapports de force entre les êtres, comme des ondes douloureuses ou bienfaitrices. Rarement Bergman a été aussi fragile et désemparée.(F. Strauss, Télérama)