LA GAZETTE
(à télécharger au format PDF)

NOUS TROUVER
(et où trouver la gazette)

NOS TARIFS :
TARIF NORMAL : 7,50€
CARNET D'ABONNEMENT : 55€ (10 places, non nominatives, non limités dans le temps, et valables dans tous les Utopia)
Séance avant 13h : 5€
Moins de 18 ans : 5€

RSS Cinéma
RSS Scolaires
RSS Blog

(Quid des flux RSS ?)

EN DIRECT D'U-BLOG

Le blog des profondeurs...
(de champ)

La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

Soutenez Utopia Palmer

Pour ce film, une séance par semaine à partir du 7 septembre

ELVIS

Baz Luhrmann - USA 2022 2h40 VOSTF - avec Austin Butler, Tom Hanks, Olivia DeJonge... Scénario de Baz Luhrmann et Sam Bromell.

(ATTENTION ! Cette page est une archive !)

ELVISJuré-craché, nul besoin d’être un adorateur du King pour plonger avec ravissement dans les 2h40 de bruits et de fureurs (désen)-chantées mises en scène par un Baz Luhrmann comme en état de grâce.
Fidèle à son style flamboyant, à sa puissance visuelle, à son esthétique baroque, il signe avec Elvis un film inspiré et nerveux, sur la gloire et la chute d’une légende américaine, Elvis Aaron Presley. Mieux qu’un biopic, il s’agit d’une allégorie sur l’Amérique des années 1950 à 1970 et le destin exceptionnel d’un petit gars de Tupelo (Mississippi), né le 8 janvier 1935 et mort, à 42 ans, le 16 août 1977. Mais avant qu’il ne devienne l’une des rock stars les plus adulées de son vivant, l’histoire de son ascension et de sa chute va de pair avec sa collaboration mortifère, sa fusion toxique pourrait-on dire, avec son agent, le colonel Parker, qui en fit sa créature, sa machine à dollars, le super-héros de l’Amérique.
Et puis, par dessus tout, Elvis est un extraordinaire film musical. Qu’il s’agisse des séquences de bœufs dans les quartiers noirs ou des reconstitutions des concerts, impossible de rester insensible au flot d’énergie qui transpire de l’écran.