La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...
LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...
Justine Triet parle d’or
Il aura donc suffi de quelques mots, à peine, pour que la Ministre de la Culture, celui de l’Industrie, quelques maires et députés de la majorité, volent dans les plumes et la palme de Justine Triet, réalisatrice couronnée d’Anatomie d’une chute, sermonnant en substance : « ce n’est pas bi...
Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ?
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...
Du 31/10/21 au 31/10/21
Soirée le dimanche 31 octobre, animée par Michel Flandrin, critique de cinéma et spécialiste du genre. À 19h30 Le Jour de la bête et à 21h45 L’Échine du diable. 9€ les deux films. Vous pouvez toujours voir un seul film aux tarifs habituels.
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Un film étonnant, très maîtrisé, qui inscrit une histoire de peurs et d’angoisses dans un contexte historique, voire politique, évoqué avec une grande force. Esthétiquement, L’Échine du diable est également très riche, imposant une ambiance très réaliste, des décors parfaitement crédibles, pour mieux les faire vaciller par des effets spéciaux impressionnants. Fin des années trente. L’Espagne est déchirée par la guerre civile. Sans nouvelles de ses parents, le jeune Carlos est confié à l’orphe... (lire la suite)
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Il s’agit certes d’une farce grasse et vulgaire, mais dans la meilleure acception de ces adjectifs. Grasse, dans la mesure où le bien nommé Alexandre de l’Église n’hésite pas à jeter pêle-mêle dans sa paella : religion, heavy-metal, extrême-droite et reality-show… Vulgaire, car en contant la traversée des cloaques madrilènes par un prêtre innocent, le cinéaste nous présente une vision hyperréaliste d’un monde interlope et crado digne des meilleurs Scola. Et surtout, avec ce film ficelé comme une... (lire la suite)