MON C.E. ROULE POUR UTOPIA

METTEZ VOTRE PUB
DANS LA GAZETTE !


NOUS TROUVER
(et où trouver la gazette)

NOS TARIFS :
TARIF NORMAL : 7,50€
CARNET D'ABONNEMENT : 55€ (10 places, non nominatives, non limités dans le temps, et valables dans tous les Utopia)
Groupe ( >30p.) : 3,50€
TARIF étudiants, lycéens, collégiens, demandeurs d'emploi, bénéficiaires du RSA : 4,50€ (sur présentation d'un justificatif). PASS CAMPUS : 4 euros. Paiement CB, Chèque ou Espèces.

RSS Cinéma
RSS Scolaires
RSS Blog

(Quid des flux RSS ?)

EN DIRECT D'U-BLOG

Le blog des profondeurs...
(de champ)

LA GAZETTE UTOPIA 326 DU 10 AVRIL AU 14 MAI 2024
  ... Lire LA GAZETTE UTOPIA 326 DU 10 AVRIL AU 14 MAI 2024...

LA GAZETTE UTOPIA 325 du 28 FÉVRIER AU 9 AVRIL 2024
  ... Lire LA GAZETTE UTOPIA 325 du 28 FÉVRIER AU 9 AVRIL 2024...

LA GAZETTE UTOPIA 324 du 24 JANVIER AU 27 FÉVRIER 2024
  ... Lire LA GAZETTE UTOPIA 324 du 24 JANVIER AU 27 FÉVRIER 2024...

LA GAZETTE UTOPIA 323 DU 13 DÉCEMBRE 2023 AU 23 JANVIER 2024
  ... Lire LA GAZETTE UTOPIA 323 DU 13 DÉCEMBRE 2023 AU 23 JANVIER 2024...

Soutenez Utopia Palmer

MON VOISIN TOTORO - à partir de 4 ans.

Hayao MIYAZAKI - film d'animation Japon 1988 1h26mn VF

(ATTENTION ! Cette page est une archive !) (uniquement pour les séances scolaires)

MON VOISIN TOTORO - à partir de 4 ans.Totoro, il a un gros ventre fourré tout doux, une queue touffue, des yeux malicieux tout ronds ou en pointe selon son humeur, des moustaches conquérantes autour d’une bouche avec de grandes, mais alors de grandes dents… mais pas pour mordre ou attaquer, non, pour sourire de toutes icelles, pour rire de la vie parce que Totoro est un bon vivant. Il dort souvent et crie très très fort pour montrer sa joie de vivre. En plus il n’est pas tout seul : lui, c’est le grand Totoro, mais il y aussi toute une famille Totoro avec des petits Totoro, tous craquants, qui sautent, courent et se cachent volontiers à la vue des humains. Le grand Totoro, lui, n’a pas peur des hommes et il aurait même tendance à faire des cadeaux aux enfants, à leur réserver des surprises…
Ce film est une merveille parmi les merveilles. Tout d’abord parce qu’il est un des rares dessins animés sans « méchant » : il n’y a rien ni personne à combattre, la nature est généreuse, les hommes bienveillants, et les animaux magiques. Ensuite parce qu’il est beau comme c’est pas permis, inventif, poétique, sans une once de mièvrerie. Enfin nous ne savons pas si Hayao Miyazaki a des enfants mais nous en sommes presque sûrs, tant les deux petites filles du film, Satzuki (10 ans) et Mei (4 ans) sont étonnantes de vérité : l’aînée avec son sens des responsabilités, son tendre amour pour sa petite soeur, capricieuse, la bouche en carré à la moindre contrariété. Leur naturel, leurs gestes, leurs traits de caractère, tout sonne juste dans cette chronique quotidienne où la féérie, la fantaisie, le merveilleux nous bercent et nous régalent.

Satsuki et Mei s’installent avec leur père dans une vieille maison à la campagne pour se rapprocher de l’hôpital où séjourne leur mère. Les fillettes découvrent la nature, le jardin et l’eau claire de la rivière, les têtards, les papillons et surtout les grands arbres, juste à côté de la maison, où vivent, c’est sûr puisqu’elles les ont vus, les Totoro, héros de livres enfantins. Un jour, alors qu’elles attendent le retour de leur mère à la maison, elles aprennent que sa sortie est repoussée de quelques jours. Mei ne veut pas comprendre et décide, du haut de ses quatre ans, de partir à l’hôpital retrouver sa maman. S’apercevant de sa disparition, Satzuki et les gens du village la recherchent en vain. Désespérée, la grande soeur décide de demander de l’aide à son voisin Totoro.
Alors Totoro va pousser son grand cri de joie, appeler à la rescousse son chat-bus merveilleux et parcourir la campagne avec Satzuki pour retrouver Mei...