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LA GAZETTE UTOPIA 326 DU 10 AVRIL AU 14 MAI 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 325 du 28 FÉVRIER AU 9 AVRIL 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 324 du 24 JANVIER AU 27 FÉVRIER 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 323 DU 13 DÉCEMBRE 2023 AU 23 JANVIER 2024
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Hiroyasu Ishida - film d'animation Japon 2019 1h48mn - Scénario de Makoto Ueda, d'après le roman de Tomihiko Morimi. Pour les enfants à partir de 8 ans.
(ATTENTION ! Cette page est une archive !)
Élève de CM1, Aoyama est un jeune garçon sérieux qui travaille beaucoup pour devenir « quelqu’un de bien ». Chaque jour, il tient le compte des journées restantes pour atteindre l’âge adulte. Cette histoire commence alors qu’il lui reste exactement 3888 jours et se finira à 3748. Elle raconte donc l’aventure fantastique que va vivre Aoyama pendant ces 140 jours pour devenir un adulte fréquentable…
Quand des pingouins apparaissent à tous les coins de rue de sa petite ville, provoquant l'ahurissement des habitants et semant au passage une joyeuse pagaille, Aoyama se dit qu'il y a là une enquête passionnante à mener. Pour essayer de percer le mystère, il enrôle immédiatement son meilleur ami, sa rivale aux échecs dont il admire l'intelligence… et une énigmatique assistante dentaire… Mais il va vite apparaître que l'irruption soudaine des pingouins n'est que le premier d'une série d'événements extraordinaires, et l'aventure sera encore plus surprenante que tout ce qu'Aoyama avait pu imaginer…
« Adapté d’un roman de science-fiction de Tomihiko Morimi – grand succès au Japon mais inédit en France –, ce premier long métrage est un “anime” (selon l’expression consacrée) exemplaire, destiné autant aux enfants qu’aux adultes. Avec son esthétique franche et délicate, il chronique le quotidien, pour mieux y laisser surgir événements surnaturels et atmosphère surréaliste.
L’enfance et la préadolescence y sont exaltées comme le moment absolu de la curiosité et de l’apprentissage du danger, assortis à l’éveil maladroit du désir sexuel. Car même Aoyama n’a pas de formule de maths pour comprendre son émoi devant les courbes d’une beauté féminine…
Et cette ode insolite au mystère féminin se teinte aussi d’écologie, comme toute bonne animation nippone contemporaine et propose une jolie réflexion sur le matérialisme autour de ces mystérieux pingouins… » (G. Odicino, Télérama)