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LA GAZETTE UTOPIA 326 DU 10 AVRIL AU 14 MAI 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 325 du 28 FÉVRIER AU 9 AVRIL 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 324 du 24 JANVIER AU 27 FÉVRIER 2024
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LA GAZETTE UTOPIA 323 DU 13 DÉCEMBRE 2023 AU 23 JANVIER 2024
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Du 01/01/70 au 01/01/70


  • DOULEUR ET GLOIRE

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    Disons le d'emblée, avec enthousiasme : Douleur et gloire est l'un des plus beaux films de Pedro Almodovar, et probablement le plus intime, le plus personnel. Un film ample et maîtrisé, superbement écrit et construit, d'une élégance formelle, d'une puissance évocatrice renversantes, touchant à la perfection dans son interprétation, dans son image, dans sa musique, dans sa direction artistique, dans ses dialogues, dans ses ellipses… et dans l'assemblage fluide de tous ces éléments ! Antonio Band... (lire la suite)


  • LA FAMILIA

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    L’urgence mène La familia. Urgence de fuir. Urgence de survivre. Urgence de recréer du lien. Le Venezuela est un pays secoué de tremblements douloureux depuis des années. Aujourd’hui plus que jamais. Ce premier long-métrage en est l’un des reflets. La force du film réside à la fois dans le miroir qu’il tend au réel et dans la réussite d’une fiction prenante et universelle. Une alliance bénéfique pour mieux happer le spectateur. Le drame arrive dès le début et la pression ne lâche plus. Comme dan... (lire la suite)


  • LA FEMME DE MON FRÈRE

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    Avec un peu de chance, vous allez comme moi être à la fois irrésistiblement séduit et exaspéré par Sophia, l'héroïne hors normes – et présente dans tous les plans ou presque – de cette délicieuse comédie de mœurs urbaine et très canadienne, qui n'est pourtant pas sans rappeler la verve des films de Justine Triet (Victoria et Sibyl avec Virginie Efira). Cette pétillante trentenaire québécoise, universitaire au visage aquilin et à la logorrhée inextinguible, est ce qu'on pourrait appeler une « att... (lire la suite)


  • LE CHANT DE LA FORÊT

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    Entre document ethnographique et fiction enchanteresse, ce film nous emmène au cœur de l’Amazonie, au Nord du Brésil, pour suivre le récit initiatique d’Ihjãc, tout jeune père de famille appartenant à la communauté indigène des Krahô. Le Chant de la forêt est le fruit de la collaboration de la Brésilienne Renée Nader Messora et du Portugais João Salaviza qui étudient depuis de nombreuses années le peuple Krahô. Leur film représente un matériau authentique sur ce peuple primitif dans la mesure où... (lire la suite)


  • LE DAIM

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    On sait – ou on ne sait pas – qui est Quentin Dupieux. Soit un artiste à double visage, musical et cinématographique, mais à visée unique, venue de la lointaine galaxie dada. Distorsion parodique de l’art officiel, fantaisie bricoleuse, éloge du dérisoire, de l’aléatoire, de la monomanie. L’aventure, d’intensité variable, comprend au cinéma huit longs-métrages réalisés depuis 2001, entre France et Californie, soutenue le cas échéant par quelques grands noms de la comédie (Eric Judor, Alain Chaba... (lire la suite)


  • LES PARTICULES

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    C'est un temps suspendu au sortir de l'adolescence, un temps bref, qui se compte en mois plus qu'en années, mais qui laisse dans les vies la trace indélébile d'une fulgurance née pour disparaître. Apre, confus, insaisissable, c'est dans ce temps-là que nous allons pénétrer avec Les Particules, au gré d'un voyage où il sera question de matière, d'atomes, de sens, de corps en mouvement et de réalités hasardeuses. À travers ce premier film de fiction très ambitieux, tant dans son sujet que dans ses... (lire la suite)


  • MEURS, MONSTRE, MEURS

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    Préparez-vous à plonger dans un territoire sauvage et mystérieux. Le second film d'Alejandro Fadel, auteur du remarqué Los Salvajes, intrigue et brouille les cartes. À la fois polar et film d'horreur, le film nous happe dans une ambiance moite et poisseuse, servie par des images et une lumière magnifiques, par de vraies gueules d'acteurs. Les dialogues, par moment totalement décalés, apportent l'humour et le recul nécessaires pour ne pas sombrer dans la folie des personnages. Les noirs profonds ... (lire la suite)


  • PARASITE

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    En deux décennies, Bong Joon-Ho s’est imposé comme un des réalisateurs majeurs du cinéma asiatique. Grâce à ce qu'on appelle des films de genre (polar, fantastique, thriller) qui ont toujours laissé une belle place à la sensibilité et à l’humour. Punchy, émouvants, drolatiques, un brin sanguinolents… tels le virtuose Memories of murder, le délirant The Host, les terriblement touchants Mother et Okja… Ce nouvel opus, Parasite, ne déchoit pas, ni ne déçoit, tout au contraire. Il confirme que la pa... (lire la suite)


  • PETRA

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    C’est là, au sommet des collines qui dominent les vignes, que la brune Petra vient chercher une sorte de rédemption, loin de tout mysticisme. Sous couvert de participer à une résidence d’artiste, elle débarque par un beau matin clair dans les pattes d’un plasticien qui aurait l’âge d’être son père. La renommée internationale de Jaume Navarro en impose déjà à la jeunette subjuguée, sans même qu’elle l’ait rencontré. Il va vite s’avérer que notre souricette est tombée dans la tanière d’un raminagr... (lire la suite)


  • SIBYL

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    Écrire l'éloge de Sybil, c'est d'abord clamer celui de Virginie Efira, absolument incroyable, irrésistible dans le rôle titre. Virginie Efira qui s'impose film après film comme une comédienne exceptionnelle dans tous les registres, que ce soit dans la pure comédie – Caprice, d'Emmanuel Mouret, Victoria, de Justine Triet déjà – ou dans une veine plus dramatique – Elle, de Paul Verhoeven, en second rôle capital, et plus encore Un amour impossible, de Catherine Corsini. Bref la magnifique Virginie... (lire la suite)


  • THE DEAD DON’T DIE

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    Après sa magnifique variation sur les vampires – le divinement mélancolique Only lovers left alive –, pas étonnant finalement que le grand Jim Jarmush consacre un film à un autre thème mythique du cinéma fantastique : les morts vivants. Ce sera donc le bien titré The Dead don't die qui visiblement aborde le sujet sur le registre de la comédie loufoque en même temps que furieusement caustique sur les us et coutumes d'une certaine Amérique profonde repliée sur ses fondamentaux toxiques… Et mazett... (lire la suite)


  • YVES

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    Rien ne prédestinait Jérem (excellent William Lebghil), éternel adulescent, et Yves, réfrigérateur dernier cri, à se rencontrer et encore moins à cohabiter. Rappeur raté, bien incapable de se faire cuire un œuf ou de balayer ses miettes, Jérem cultive l’art de la lose. Ce n’est pas un simple poil qu’il a dans la main mais toute une moquette, même pas bonne à fumer. Il mène une vie de patachon pépère, allant de la cuisine à la chambre, du canap à l’ordi, incapable de produire grand chose de bien ... (lire la suite)


  • ZOMBI CHILD

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    Passionné par Haïti, par la richesse et la singularité de sa culture, Bertrand Bonello s’est plongé dans la tradition vaudou et l’une de ses figures emblématiques : le zombi. On écrira donc zombi et non zombie, qui est l’orthographe américaine. Bonello revient ici à l’origine haïtienne de cette créature retirée du monde, condamnée à la mort sociale, empoisonnée, enterrée puis exhumée pour devenir, sous l’effet de la drogue et de la sujétion, un marginal sous contrôle, un esclave pour dire le mot... (lire la suite)