Coopérative QUI VIVRA BÉRAT habitat partagé en évolution la Ménardière
Une autre façon de vivre ? Une autre façon de vieillir ? Voilà 4 ans, qu’un groupe de retraités a investi le Domaine de la Ménardière en créant une coopérative. Objectif : Vivre et vieillir ensemble solidaires et actifs jusqu’au bout du chemin. Chambres d’hôtes, Conc...
SÉANCES BÉBÉS
Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...
30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...
Également au programme - L’INVRAISEMBLABLE VÉRITÉ - LA CINQUIÈME VICTIME - MAN HUNT
(Clash by night) Fritz Lang - USA 1952 1h45mn VOSTF - avec Barbara Stanwick, Paul Douglas, Robert Ryan, Marylin Monroe... Scénario d’Alfred Hayes, d’après une pièce de Clifford Odets.
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Après dix ans d’absence, Mae Doyle revient au pays. Un passé trouble et un amour malheureux l’ont transformée. Elle est accueillie par son jeune frère, Joe, qui habite un petit port de pêche. Jerry D’Amato, le patron de son frère, s’éprend aussitôt d’elle et lui propose de l’épouser. Mae, qui connaît bien sa propre inconstance, hésite mais finit par accepter. À peine mariéé, comme prévu, elle s’éprend du meilleur ami de Jerry, Earl Pfeiffer, un projectionniste cynique et violent. Elle entame une liaison dangereuse avec lui…
Un film à part dans la filmographie américaine de Lang, une sorte de drame social et sexuel beaucoup plus naturaliste qu’à son habitude. Au début, une extraordinaire séquence dépeint le travail quotidien des pêcheurs et des travailleurs des conserveries. Cette scène, tournée dans un style documentaire, ancre le film dans une réalité lourde de chaînes qui explique l’aliénation petite-bourgeoise des personnages.