UTOPIA SAINTE BERNADETTE
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Coopérative QUI VIVRA BÉRAT habitat partagé en évolution la Ménardière
Une autre façon de vivre ? Une autre façon de vieillir ? Voilà 4 ans, qu’un groupe de retraités a investi le Domaine de la Ménardière en créant une coopérative. Objectif : Vivre et vieillir ensemble solidaires et actifs jusqu’au bout du chemin. Chambres d’hôtes, Conc...

SÉANCES BÉBÉS
  Les séances “bébé” sont des séances où les parents peuvent venir avec leur nouveaux nés. Et déguster un film pendant qu’ils roupillent dans leurs bras. Les séances sont évidemment ouvertes à tous les spectateurs, il suffit de savoir qu’il peut arriver qu’un bébé fasse du bruit en suçant son pou...

30237
Et voilà, Vidéo en Poche c’est fini, le compteur s’arrête à 30237 copies vendues sans DRM sur clés USB ! À bientôt dans le cyberespace indépendant et surtout IRL dans les salles de cinéma Le 30 novembre à minuit, Vidéo en Poche a tiré sa révérence et retourne dans sa bouteille de la...

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Séance unique lundi 20 mai à 20h

LA ULTIMA CENA

Tomás GUTIÉRREZ ALEA - Cuba 1976 2h VOSTF - Avec Luis Alberto Garcia, Jose Antonio Rodriguez, Nelson Villagra...

Du 20/05/24 au 20/05/24

LA ULTIMA CENAÀ la fin du XVIIIe siècle, à l’occasion de la semaine sainte, un comte se rend à la plantation de canne à sucre dont il est propriétaire. Pour satisfaire de vagues tendances mystiques, il choisit douze de ses esclaves noirs qu’il invite à partager son repas. Le lendemain, lorsqu’un intendant brutal veut faire travailler les esclaves à qui on a promis un congé, ceux-ci se révoltent. Le propriétaire oublie alors ses propensions à la mansuétude pour ordonner une répression impitoyable.
Pépite du cinéma cubain, La ultima cena constitue l’une des plus fameuses, sinon la plus fameuse mise en cause de l’hypocrisie et du leurre de la colonisation et de l’esclavage, doublé d’une reconstitution minutieuse des vieilles sucreries, sources de la richesse et de la misère cubaine. Avec son remarquable travail sur la photographie et les décors, le film de Tomás Gutiérrez Alea, à qui l’on doit également d’autres films majeurs comme La mort d’un bureaucrate, ou encore Mémoires du sous-développement pour ne citer qu’eux, est un splendide moment de cinéma !