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La Paix, éternelle Utopie ?
Pas facile de décrypter le chaos du monde pour les spectateurs, plus ou moins lointains, que nous sommes, face aux faits tragiques qui nous submergent en avalanche via la presse, les réseaux sociaux, vraies ou fausses nouvelles… Et c’est dans ces moments-là que nous avons encore plus envie de croire...

LES SALLES UTOPIA SE METTENT AU VERT
Vous y croyez, vous, au bon sens qui voudrait que partir se bronzer les fesses à l’autre bout du monde  avec des avions Macron volant avec du bio kérozène made in France serait bon pour votre corps et la planète ? Cela ne ressemblerait-il pas étrangement au discours tenu il y a quelqu...

Rosmerta continue ! Vous connaissez l’histoire ? 
Depuis les débuts, et même avant, Utopia Avignon suit l’histoire de près ! Ça fait presque cinq ans qu’on vous en parle dans nos gazettes, à chaque rebondissement. Ce qu’il s’est passé depuis 2018 : réquisition citoyenne d’une école vétuste appartenant au diocèse, procès et appel...

UTOPIA PALMER LANCEMENT D’UN FINANCEMENT PARTICIPATIF
Pour un cinéma alternatif et vivant, sur les hauteurs du parc Palmer à Cenon, petite ville de 30 000 habitants faisant partie de Bordeaux Métropole.À l’heure où les professionnels cherchent désespérément la recette miracle du « retour du public en salles », entre prestations...

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L’INNOCENT

Luchino VISCONTI - Italie 1976 2h09 VOSTF - avec Giancarlo Giannini, Laura Antonelli, Jennifer O’’Neill, Marie Dubois... Scénario de Visconti, Enrido Medioli et Suso Cecchi d’Amico, d’après le roman de Gabriele d’Annunzio.

Du 07/08/24 au 03/09/24

L’INNOCENTL’Innocent est l’ultime chef-d’œuvre de Luchino Visconti, qu’il dirigea de son fauteuil roulant, paralysé par une attaque, peu de temps avant sa mort. Ce drame mondain adapté de D’Annunzio, d’une cruauté exceptionnelle, est un adieu glacial au monde et au cinéma qui stigmatise une société aristocratique décadente. Un testament moral et esthétique…
L’Innocent du titre, c’est un nouveau-né qui sera tué au nom de l’honneur et de l’orgueil… Difficile d’imaginer un regard plus pessimiste et sans aucune indulgence sur la laideur d’un monde sans morale où triomphent le droit du plus fort, la violence de classe…
Longtemps L’Innocent fut considéré comme un épilogue mineur et fatigué, indigne des chefs-d’œuvre de Visconti. Il n’en est rien. Comme d’autres immenses réalisateurs au crépuscule de leur vie (Dreyer, Lang) Visconti tend ici à une épure de son art, un art qui célébra avec génie les noces du cinéma et de l’opéra, de la littérature et du théâtre. Avec L’Innocent, Visconti signe un mélodrame sec, implacable, froid comme la mort, aux allures de requiem. (O. Père, arte.tv)